L'éclat éternel de l'amour du Maître et Marguerite
Au sein de la plénitude du XXe siècle, l’auteur Mikhaïl Boulgakov tisse une trame narrative captivante dans son chef-d'œuvre intemporel, "le Maître et Marguerite". Au cœur de ce roman énigmatique se dévoile une belle histoire transcendante ! Et lire cet artiste, c’est une expérience assez unique, assez intime : « suis-moi, lecteur ! Qui t'a dit que l'amour véritable, fidèle, éternel, cela n'existait pas ? Le menteur, qu'on lui coupe sa langue scélérate ! Suis-moi, mon lecteur, et nul autre que moi, je te le montrerai, cet amour ! » (extrait).
L'amour de ce récit se manifeste sous diverses formes, chacune révélant une dimension profonde et complexe de cette émotion nouvelle ! Au centre de cette toile narrative, le Maître, écrivain tourmenté, et Marguerite, femme en quête de vérité, forment un couple aussi envoûtant qu’énigmatique ! Leur histoire, enchevêtrée dans le tumulte du Moscou stalinien, transcende les cieux pour s'élever vers une sphère métaphysique. Et par mauvais temps, ceux sont des éclairs d’adoration qui jaillissent : « l'amour surgit devant nous comme surgit de terre l'assassin au coin d'une ruelle obscure et nous frappa tous deux d'un coup. Ainsi frappe la foudre, ainsi frappe le poignard ! » (extrait).
Le Maître, prisonnier de son propre esprit créatif, trouve refuge dans l'écriture de son chef-d'œuvre interdit. Son amour pour Marguerite devient la source d'inspiration qui alimente sa plume, dépeignant un portrait romantique nuancé de tragédie. La relation entre les deux protagonistes, complexe et en constante évolution, dépeint les bien fameux thèmes de la passion, de la souffrance et de la rédemption ! C’est une exploration complète de l’émotion : « Écoute ce silence, dit Marguerite, tandis que le sable bruissait légèrement sous ses pieds nus, écoute, et jouis de ce que tu n'as jamais eu de ta vie : le calme » (extrait).
L'apparition du diable sur Terre, sous les traits du mystérieux Woland, ajoute une dimension éthérée à cette belle histoire ! En échange de la liberté du Maître, Marguerite pactise avec le diable, sacrifiant son humanité pour une éternité aux côtés de l'homme qu'elle aime. Cette décision audacieuse sacralise l'amour, nuançant les frontières entre le bien et le mal. Et cela se symbolise par quelques simples désirs : « n’avez-vous pas envie, l’après-midi, de vous promener avec votre amie sous les cerisiers, qui commencent à fleurir, et le soir, d’écouter de la musique de Schubert ? » (extrait).
Le bal masqué final culmine dans un éclat de magie noire et révèle l'aspect fantastique de l'amour dans le récit. Marguerite, désormais dotée de pouvoirs surnaturels, devient une force indomptable guidée par l'amour du Maître. Cette transformation incarne l'idée que l'amour, au-delà des limites de la réalité, peut transcender les obstacles et dévoiler des potentialités insoupçonnées !
Ainsi, l’œuvre se déploie comme une fresque romantique, imprégnée de symbolisme et de métaphorisme ! Elle transcende le temps, illustrant la puissance de l'amour dans toutes ses nuances, qu'il soit terrestre, spirituel ou même diabolique ! En explorant l’abime de l’esprit, Boulgakov crée un récit fantasque où l'amour persiste comme une force invincible, éclipsant les ombres de la réalité afin de s'épanouir dans l'éternité. « À quoi servirait ton bien, si le mal n'existait pas, et à quoi ressemblerait la terre, si on en effaçait les ombres ? » (extrait). Voici, c’est tout pour moi, si l’envie vous prend, je vous en souhaite une belle lecture !
Par @marivaude
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