Les pratiques sexuelles : à chaque région sa spécialité locale !
Soft Paris, connu pour être le leader européen des produits chics et coquins, a mené une enquête très sérieuse auprès de 900 Français, au sujet de leurs pratiques sexuelles. Si aujourd’hui la France ne recense plus que 13 régions, bien loin du nombre de positions sexuelles possibles - on vous l’accorde volontiers - les habitudes changent radicalement d’une à l’autre.
Attention, vous risquez de vouloir déménager plus vite que prévu, ou de revoir vos plans de vacances au dernier moment.
Les Franciliens, ces incultes de l’orgasme
A coup sûr, vous frétillez d’envie de savoir si vous habitez au bon endroit sur notre carte hexagonale. On va voir ça...
Si vous aimez faire l’amour dans les lieux publics, et que vous habitez Lille, hum, disons que vous n’êtes plus à votre place et qu’il est temps de plier bagage. Car en Auvergne-Rhône-Alpes, on est passé maître dans l’art. 19% des Rhônalpins font l’amour dans les lieux publics. Amis Lyonnais, vous vous demandiez pourquoi les rues de la capitale des Gaules étaient si bruyantes la nuit ? Ne cherchez plus.
Les Auvergnats ne sont pas en reste, puisque 29% d’entre eux préfèrent goûter au plaisir de la chair en voiture. Avec climatisation ou non, on aura peut-être la réponse un jour.
En parlant de clim, il fait chaud un peu partout en France, alors sachez que 9% des Aquitains ont fait de la piscine le lieu incontournable pour faire l’amour. Un peu comme ce moment où vous allez voir votre boulanger pour lui échanger une baguette de pain contre quelques douces pièces de monnaie. Un indispensable. Dans le Grand-Est, les Champardennais aiment être mouillés. 17% d’entre eux préfèrent faire l’amour dans la douche ou dans la salle de bain.
En Ile-de-France, ils ne sont que 2% à aimer patauger au corps-à-corps, sous ou dans l’eau. Tiens, parlons-en des Franciliens. Décidément, leur réputation d’être trop pressés les poursuit. 35% des Franciliens ignorent où se trouvent le point G. Aie, hélas pour eux, les GPS ne bénéficient pas encore
de cette fonctionnalité. Un outil dont les Lorrains pourront se passer, puisque 77% de ces derniers déclarent avoir trouvé le point G. Chapeau l’artiste !
Les Français savent encore fantasmer, oui !
54% des Alsaciens sont émoustillés à l’idée d’avoir un rapport gay, alors même qu’ils n’y ont pas goûté. Mais ils ne sont pas les seuls à goûter à une spécialité locale, ou à vouloir l’essayer. Les Normands sont 47% à aimer être dominés. Ils sont les champions de France de la discipline. Les Nordistes portent le bonnet d’âne, avec seulement 10% d’adeptes de la soumission. Du côté de la Provence, 12% des habitants fantasment sur la domination et 10% sur son opposée. En somme, c’est fifty-fifty. La vie est faite de compromis après tout.
Pour eux, il n’y a pas de place à négociation. 8% des Picards ont plus de 10 rapports par semaine. Condition physique optimale exigée, diraient les spécialistes ! Tout en haut de la belle carte de France, 6% des habitants de la région Nord-Pas-De-Calais pratiquent l’exhibitionnisme, 4% le voyeurisme. Les coquins ! La météo a-t-elle un rapport ? Evelyne Dhéliat et Fanny Agostini (quoi, vous n’aimez pas le mélange des générations ?) sont sur le coup. Oh, et pour celles et ceux qui n’ont pas leur langue dans leur poche, le Pays de la Loire vous accueillera le cœur sur la main. 26% de ses habitants ont placé le cunnulingus et la fellation dans ses favoris.
Mais la Palme d’or des bons vivants revient aux habitants de la région Centre-Val de Loire. Le sourire aux lèvres, on ne dira pas lesquelles, ils sont 33% à révéler être les plus satisfaits du pays. Le plaisir serait donc découplé du côté de l’Orléanais. Ça tombe bien, on cherchait un coin charmant pour passer nos vacances...
Alexandre Boero
je m'inscris