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Comment chasser le blues de Septembre ?

Les vacances sont terminées, la crème solaire qui collait à la peau, le sable qui se faufilait partout et nous suivait à la trace ne sont déjà plus qu’un lointain souvenir.

On se retrouve perdu et en proie à un mal bien connu : le blues de septembre.

Pourquoi sommes-nous si désenchantés à la rentrée ? Pour ne plus déprimer, on vous a concocté un petit programme haut en couleur pour rester dans un mood positif.

Septembre, le mal aimé

À coté de ses frères ensoleillés, juillet et août qui affichent 31 jours au compteur, septembre fait pâle figure avec ses 30 petits jours.

De nature indépendant, septembre ne sait à quel saint… pardon, à quelle saison se vouer. Premier mois de l’automne, il adore jouer sur deux tableaux et faire les yeux doux à l’été. De quoi en perdre son latin et son t-shirt.

Les jours raccourcissent, les fraises quittent doucement les étals et le rosé n’est plus à la fête.

En septembre, on se la coule douce ? Pas vraiment ! Lentement mais sûrement on glisse vers un rythme plus soutenu, promesse de notre année.

Septembre c’est aussi le mois de la rentrée des classes, des sessions de rattrapage pour les étudiants et du retour au travail.

Franchement, on comprend pourquoi il n’est pas populaire. Mais le mois de septembre est-il le seul à blâmer. N’a-t-il pas des amis complices de notre tristesse ?

Pourquoi est-on mélancolique en septembre ? 

Ce n’est pas tant de retourner au travail ou à l’école qui nous rend mélancolique mais bel et bien la pression qui y est associée.

« Est-ce que je vais gérer cette promotion ? » « Vais-je réussir mon année et décrocher mon diplôme ? »

Soudain, les doutes qui s’étaient envolés loin, très loin avec la douceur estivale, reviennent comme un boomerang, une évidence.

Nos objectifs, nos to-do interminables occupent le devant de la scène relayant nos mojitos, nos transats et nos fruits de mer aux oubliettes.

La charge mentale fait également son grand come-back. Notre téléphone qui se perdait au fond du sac est désormais scotché à notre pouce.

Les réunions interminables reprennent du service pour notre plus grand bonheur.

Et puis à la maison, on doit gérer le quotidien, les enfants, les repas et tout ça avec le sourire.

Pendant cinq secondes, une assiette à la main, on se surprend à songer à nos fous rires, nos escapades, les balades hors du temps, les dîners au coucher du soleil où tout était simple. Juste simple.

Devons-nous rendre les armes et nous avouer vaincus ?

Comment rester positifs ? Mode d’emploi 

Pour continuer à rayonner et garder les bénéfices des vacances, on a la solution. Pas de panique.

S’accorder un week-end détente

Ce n’est pas parce qu’on est en septembre qu’on ne peut pas embarquer sa moitié pour un week-end improvisé. À nous la côte normande, les fruits des mers (ah tiens, ils sont de retour), la plage et le soleil (enfin s’il veut bien se montrer).

Méditer

Face à l’anxiété, on a deux options, avoir peur ou avoir foi en la vie.

Pour s’entraîner à avoir ce mindset en toutes circonstances, l’idéal est de s’adonner à la méditation pleine conscience. Il existe de nombreuses applis pour pratiquer et même Netflix propose du contenu sur le sujet. Alors, on se lance ?

Manger en mode barbeuc

Même si on n’est plus au bord de la piscine, on prolonge la saison des barbecues.

Pauline va chercher les merguez, Gianni les brochettes, Claire ce p’tit rosé italien et Martin, il s’occupe des salades et du dessert. Elle est pas belle la vie ?

Prendre du temps pour soi

Regarder les épisodes de sa série préférée, se faire masser, changer de coupe de cheveux, aller voir une expo, succomber à ce Tea Time qui nous fait de l’œil depuis tellement longtemps. Se poser tout simplement et observer ceux qu’on aime.

Retrouver ses amis et ses collègues

Qui dit rentrée, dit retrouvailles ? Parfois c’est bon de couper pour mieux se revoir. On se raconte les derniers potins : « T’as vu Martin, il a organisé un barbecue et il nous a même pas invités ! », nos vacances, nos amours d’été qui parfois perdurent.

Planifier ses prochaines vacances

C’est le must pour faire le plein de bonne humeur. Planifier ses vacances c’est comme acheter un billet vers le bonheur. Pourquoi ne pas se faire un trip en train et traverser la campagne anglaise ? Et si on allait danser la salsa à Cuba ? En se projetant, on est toujours un peu en vacances.

Et puis quand on y réfléchit, Noël c’est dans 4 mois. Allez on garde le cap.

Eva Mané 

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